Des Gazaouis ont creusé une brêche dans le mur de séparation avec l'Egypte et s'y répandent pour "faire leurs courses".
Ces pauvres démunis disposaient donc d'explosifs. On le savait ; il n'est plus possible de les croire lorsqu'ils se prétendent sans défense.
La remarque, il est vrai, ne sert à rien ; ceux qui choisissent de les voir en victimes resteront aveugles devant l'évidence.
Ces mêmes belles âmes ne voyaient rien à redire devant la pluie de roquettes sur Sdérot. Aujourd'hui elles sont joyeuses de l'incursion en Egypte.
La liberté, c'est le bonheur.
Est-elle si heureuse cette liberté au péril des autres ?
Ils sont entrés en force en Egypte pour la "mouiller" dans le conflit israélo-palestinien. L'Egypte est le seul pays arabe ayant signé un traité de paix avec Israël.
Les durs de l'islam ne l'ont jamais admis.
Que la paix soit indispensable à la survie d'un état qui vit du tourisme, voilà une préoccupation bien étrangère aux Gazaouis ; eux, ils sont bien plus malins. Ils ont trouvé la manière
"psychologique" de vivre aux crochets des belles âmes.
Pourquoi changeraient-ils ?
La mendicité institutionnalisée leur réussit plutôt bien.