1 septembre 2008
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21:01
Un ami cultivé et néanmoins lecteur assidu - il se reconnaîtra, qu'il reçoive le témoignage de mon amicale complicité - me comparait à ces dames du temps jadis qui tenaient salon et
encourageaient la vie littéraire et artistique de leur temps. C'est trop flatteur, je suis sur un petit nuage mais ... atterrissons avant de nous casser la figure.
Ce blog est peut-être un salon mais ses invités pourraient s'y exprimer d'avantage.
Tant de sujets restent sans commentaire ... J'essaie de varier, au risque de passer du coq à l'âne. Sans résultat. Alors, parfois, c'est le découragement ; à quoi bon tenter un débat s'il doit rester un monologue ?
Par chance, des échos, d'amicales conversations m'apprennent que j'ai des lecteurs et qu'ils ne sont pas indifférents.
Le problème reste entier.
Et si je vous demandais de proposer des sujets ? Vous m'éviteriez ainsi de me planter. Un bon mouvement ...
Par exemple, je serais très heureuse que vous utilisiez à cet usage la fonction "commentaire" de cet article ... en espérant
avoir plus de réussite qu'à la fin d'un exposé, lorsqu'on demande : "Des questions à poser ?"
C'est donc un salon peu fréquenté. Serait-ce un boudoir ?
La comparaison est trop dix-neuvième siècle.
S'il faut reculer dans le temps, la chambre des temps classiques avec sa ruelle fait un peu confinée et la mémoire en est par trop malodorante.
Une simulation de voyage dans le temps pourrait nous ramener vers les "cours d'amour" d'Aliénor d'Aquitaine.
On n'y parlait pas que des sentiments amoureux, Ménie Grégoire et ses émissions n'y étaient pas, mais un lieu était né pour ce qu'on aimait, la littérature, les arts, la conversation, en un mot la culture. La femme y chantait la fine amor en résistance à la barbarie que les hommes du temps glorifiaient.
Bon, c'est pas gagné et de toute façon, c'est complètement démodé.
Mais il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre ... alors je compte sur vous, aidez-moi à vouloir l'impossible.
Ce blog est peut-être un salon mais ses invités pourraient s'y exprimer d'avantage.
Tant de sujets restent sans commentaire ... J'essaie de varier, au risque de passer du coq à l'âne. Sans résultat. Alors, parfois, c'est le découragement ; à quoi bon tenter un débat s'il doit rester un monologue ?
Par chance, des échos, d'amicales conversations m'apprennent que j'ai des lecteurs et qu'ils ne sont pas indifférents.
Le problème reste entier.
Et si je vous demandais de proposer des sujets ? Vous m'éviteriez ainsi de me planter. Un bon mouvement ...
Par exemple, je serais très heureuse que vous utilisiez à cet usage la fonction "commentaire" de cet article ... en espérant
avoir plus de réussite qu'à la fin d'un exposé, lorsqu'on demande : "Des questions à poser ?"
C'est donc un salon peu fréquenté. Serait-ce un boudoir ?
La comparaison est trop dix-neuvième siècle.
S'il faut reculer dans le temps, la chambre des temps classiques avec sa ruelle fait un peu confinée et la mémoire en est par trop malodorante.
Une simulation de voyage dans le temps pourrait nous ramener vers les "cours d'amour" d'Aliénor d'Aquitaine.
On n'y parlait pas que des sentiments amoureux, Ménie Grégoire et ses émissions n'y étaient pas, mais un lieu était né pour ce qu'on aimait, la littérature, les arts, la conversation, en un mot la culture. La femme y chantait la fine amor en résistance à la barbarie que les hommes du temps glorifiaient.
Bon, c'est pas gagné et de toute façon, c'est complètement démodé.
Mais il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre ... alors je compte sur vous, aidez-moi à vouloir l'impossible.