16 mai 2009
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23:00
Histoire de rire un peu, l'occasion est plutôt rare
dans la conjoncture actuelle, une info pêchée sur le net :
"Un prêtre polonais publie un guide sur la sexualité.
Il est loin, le temps où les religieuses dans les couvents n'étaient pas autorisées
à lire la Bible à cause de certains passages supposés scabreux dans l'ancien Testament.
Enfin, faut voir. Si les audaces du moine polonais ont la verdeur du cantique des cantiques, les amateurs de porno hard resteront sur leur faim. En attendant, rien que pour voir, ils auront acheté le bouquin, pour le plus grand profit de l'auteur, c'est à dire de son ordre qui, selon la règle, empoche les bénéfices.
Les dubitatifs se posent des questions sur la qualification d'un moine : a t'il l'expérience suffisante ?
Ce franciscain a peut-être pris modèle sur le fondateur de l'ordre. Le cher François d'Assise, comme beaucoup de grandes figures de l'Eglise, a mené une vie pour le moins dissolue, sexe et bagarres, avant de se convertir et de s'occuper sérieusement de sa vie éternelle.
L'expérience sexuelle du moine est peu-être plus riche qu'on ne le croit.
Les moines sont une communauté solidaire. On peut donc imaginer une organisation à l'image du monastère où vivait le Révérend Père Gaucher des "Lettres de mon moulin" (Alphonse Daudet ).
La providence divine lui avait permis de redécouvrir la recette d'une liqueur campagnarde ; elle remporta un tel succès que le couvent en ruines fut sauvé et retrouva la prospérité. Seulement, le brave frère Gaucher, devenu Révérend Père en reconnaissance des services rendus, ne pouvait trouver le juste équilibre des ingrédients qu'en goûtant au fur et à mesure de la fabrication. Résultat : il roulait régulièrement sous la table en chantant des refrains grivois. Comment faire pour sauver à la fois l'âme du Révérend Père Gaucher et la trésorerie du monastère ?
Aux grands maux les grands remèdes, le père abbé, en homme pratique, trouva la solution : les moines s'abîmèrent dans la prière pour racheter l'âme du dévoué Révérend Père pendant que ce dernier prenait les cuites justifiées par son dévouement à la communauté.
On se réjouit à imaginer le moine sexologue perfectionnant son expérience avec l'absolution et les prières de ses confrères.
Le chant grégorien en mode de paillardes, accompagnant les exclamations et gémissements du stupre, pourquoi pas ? C'est à étudier.
Ce moine polonais est peut-être plus novateur qu'on aurait pu le croire.
Enfin, faut voir. Si les audaces du moine polonais ont la verdeur du cantique des cantiques, les amateurs de porno hard resteront sur leur faim. En attendant, rien que pour voir, ils auront acheté le bouquin, pour le plus grand profit de l'auteur, c'est à dire de son ordre qui, selon la règle, empoche les bénéfices.
Les dubitatifs se posent des questions sur la qualification d'un moine : a t'il l'expérience suffisante ?
Ce franciscain a peut-être pris modèle sur le fondateur de l'ordre. Le cher François d'Assise, comme beaucoup de grandes figures de l'Eglise, a mené une vie pour le moins dissolue, sexe et bagarres, avant de se convertir et de s'occuper sérieusement de sa vie éternelle.
L'expérience sexuelle du moine est peu-être plus riche qu'on ne le croit.
Les moines sont une communauté solidaire. On peut donc imaginer une organisation à l'image du monastère où vivait le Révérend Père Gaucher des "Lettres de mon moulin" (Alphonse Daudet ).
La providence divine lui avait permis de redécouvrir la recette d'une liqueur campagnarde ; elle remporta un tel succès que le couvent en ruines fut sauvé et retrouva la prospérité. Seulement, le brave frère Gaucher, devenu Révérend Père en reconnaissance des services rendus, ne pouvait trouver le juste équilibre des ingrédients qu'en goûtant au fur et à mesure de la fabrication. Résultat : il roulait régulièrement sous la table en chantant des refrains grivois. Comment faire pour sauver à la fois l'âme du Révérend Père Gaucher et la trésorerie du monastère ?
Aux grands maux les grands remèdes, le père abbé, en homme pratique, trouva la solution : les moines s'abîmèrent dans la prière pour racheter l'âme du dévoué Révérend Père pendant que ce dernier prenait les cuites justifiées par son dévouement à la communauté.
On se réjouit à imaginer le moine sexologue perfectionnant son expérience avec l'absolution et les prières de ses confrères.
Le chant grégorien en mode de paillardes, accompagnant les exclamations et gémissements du stupre, pourquoi pas ? C'est à étudier.
Ce moine polonais est peut-être plus novateur qu'on aurait pu le croire.